Sophie Rousseau

Sophie Rousseau vit et travaille en région parisienne.

Edition

« Le double Moment des nuages », Philippe DE BOISSY, mars 2018, Pré # carré éditeur, collection poésie # carré n°49 

« Marges de la lumière », de Michel BOURÇON, mars 2018, Gros textes éditeur

« Courants d’air », avec Jean-Pierre NICOL, Revue Poeticon, décembre 2017, Les déjeuners sur l’herbe éditeur

«Toute l’histoire nous manque», de Katherine L. BATTAIELLIE
Mars 2017, Revue Voleur de feu , Double vue Editeur

« Sables », d’Edith MASSON, octobre 2016, Revue Ce qui reste (Revue numérique)

«Georges en moto» et «Le ciel s’appesantit», de Michel BUTOR, octobre 2016, L’instant perpétuel éditeur

«Le moindre geste», de Michel BOURCON, Collection poésie # carré , pré # carré éditeur

«Demain, un autre jour»«Laissez le temps en liberté» et «Demeures de lumière» de  Maurice LESTIEUX (1989, 90, 93), Barré et Dayez éditeur, collection Jalons

Livres d’artistes

«Osram Osram», Texte de Hervé BOUGEL (septembre 2017)

«Le fil du jour», texte de Jean-Pierre NICOL, leporello (septembre 2015), réalisé dans le cadre de L3V avec mt-galerie

«Saint Nicaise au vitrail», texte de Christian NICAISE, leporello (mars 2015)

William Mathieu

Originaire de Lorraine, ayant grandi en Haute-Savoie, William Mathieu, 36 ans, a déjà vécu plusieurs vies. Il a notamment été salarié dans l’industrie pendant une quinzaine d’années. Curieux de nature, il a su mettre à profit ses années de prime jeunesse pour élargir sa vision du monde en voyageant sur les sept mers et les cinq continents. D’autre part, la pratique des arts martiaux à haut niveau pendant plusieurs années reflète une certaine quête spirituelle et une recherche intérieure que révèlent souvent les titres de ses oeuvres. Cet intérêt pour les mots ne date pas d’hier puisqu’il a commencé par écrire avant de dessiner. En 2007, il s’initie à la calligraphie, un pas supplémentaire vers la peinture avant de décider de tout abandonner (métier, région, etc.) pour commencer une nouvelle vie d’artiste peintre dans le Sud-Ouest. William Mathieu, s’il peut être rangé (mais faut-il vraiment le ranger ?) dans la catégorie des « jeunes artistes », s’est déjà inventé un univers bien à lui, étrange, loufoque, troublant, dérangeant même parfois. Inspiré par le génial Salvator Dali, ses tableaux font parfois penser à ceux du peintre surréaliste Magritte mais il revendique aussi l’influence des grands maîtres de l’histoire de la peinture notamment Leonard de Vinci ou George de La Tour et celle des contemporains comme David Hockney.

Christophe Massé

Né à Perpignan, il vit à Bordeaux depuis 1998. Son travail plastique est politique, sociologique, esthétique, voire décoratif. Celui consacré à la littérature est poétique, philosophique, polémique. Son combat artistique s’apparente à un marathon, où l’important n’est pas de porter des chaussures fluorescentes et un sponsor sur le dos, mais de participer. Il a publié des ouvrages (récit – poésie – roman) chez trois éditeurs français et aujourd’hui chez Pierre Mainard éditeur, pour lequel il dirige la collection littéraire Délirien.
Depuis les années 80, il écrit des préfaces, textes, articles sur le travail de créateurs, artistes et auteurs de diverses disciplines et organise des manifestations ponctuelles. Depuis 2008, il organise Sous la tente à Bordeaux un programme d’expositions et janvier 2016, organise un cycle d’expositions et de rencontres : Boustrophédon, pour la Machine à Lire à La Machine à Musique à Bordeaux.

Bibliographie

Vie sordide, Voix éditions, 1983
Quelques jours noir de mars, Chiendent, 1985
Gnian-gnian (gnan-gnan), Hangar éphémère, 1986
La disparition de C, exts. 89, éditions de Garenne, 1989
Aboulique, éditions de Garenne, 1989
L’écorce des sentiments, Voix éditions, 1992 ; Pierre Mainard, 2006
Effleurer, éditions de Garenne, 1992
Dog days, Trabucaïre, 1993
La Mise au tombeau, Pelufet, 1993
Dirty boots, Trabucaïre, 1995
Une peine de mort en su tinta, Art.nak prods, 1998
Gros et détail, La Porte, 1999
Un jour les tortues ne reviendront plus à Zante, Voix éditions, 2001
Sous le platane de la source, Pierre Mainard, 2003
Formentera Song, Voix éditions, 2006
Garçon ne pleure pas, Pierre Mainard, 2007
Exil en tête, Pierre Mainard, 2008
Wan/Waz : Urgent j’aime encore, récit Artzémois, photographies de Patrick Genty, 2010 (épuisé)
En liberté (conditionnelle), écrits de 1980 à 2012 sur Claude Massé, Les Cent Regards, 2012
Bleu, avec Hubert Lucot, La Pomme de discorde & montre molle, 2012
Essence of relief, in 1961-1973 Lieux en têtes, photographies de Denis Thomas, montre molle – Sous La Tente
éditions, 2014
Van Gogh comme ailleurs, Pierre Mainard, 2015

Jeremy Liron

Jeremy Liron est né en 1980, il vit et travaille actuellement à Lyon. Son travail est représenté par la galerie Isabelle Gounod à Paris et présent dans plusieurs collections publiques et privées.

Catalogues monographiques
Landscape(s)
, Galerie G. Leroy-Terquem, Paris, 2005
La majeure partie de son temps à inventer… Éditions Shakers, 2008Lyon-Béthune, Nuit Myrtide, 2010
Jérémy Liron, Hôtel des Arts, 2011
Le récit absent, Art [ ] Collector, 2012
Récits des paysages, Éditions Nuit Myrtide, 2014
Mélancolie des paysages, Édition Art Lux/galerie Andersen & associés, 2017

Écrits

Gênes, projet partir à deux, 2017

Bruissements, éditions Derrière la salle de bains, 2015
J’ai parfois l’impression d’avancer dans un monde en ruine, éditions Derrière la salle de bains, 2015Autoportrait en visiteur, éditions L’Atelier contemporain, 2015
« Que lisez-vous ? : À travers les livres », « La Mélancolie des fragments » et « Lettre à P.B. »,

revue L’Atelier contemporain, n° 2, printemps 2014
La mer en contrebas tape contre la digue, La Nerthe/Eclats, 2014La traversée, Publie.net, 2013
L’Être & le Passage, La Termitière, 2012
En image le monde, La Termitière, 2011
L’Humble usage des objets, Nuit Myrtide, 2010

Livres d’artiste

Les Minuscules, Éditions flblb, 2007

La Mancha, Nuit Myrtide, 2009
Faire-monde & papillons, Centrifuges, 2012Douce Quenn, éditions A/Over, 2015
Je suis seul dans ce corps, éditions A/Over, 2016

Annie Kurkdjian

Née en 1972 à Beyrouth, Annie Kurkdjian y a vécu les seize années de guerre civile. C’est une enfance marquée par le bruit des bombes, la terreur, l’insécurité permanente, l’irrégularité des choses ordinaires. Arménienne, elle porte déjà en elle, à travers l’histoire de sa grand-mère, le traumatisme du génocide. À 12 ans, alors que la famille se prépare à quitter le Liban, elle perd son père dans un violent assassinat pour vol et découvre le lendemain, dans les journaux, la photographie de son corps gisant, criblé de balles. Jeune adulte, elle souffre de trichotillomanie (compulsion à s’arracher cheveux, sourcils, poils) et prend conscience qu’il lui faut trouver un exutoire à la souffrance inscrite dans son corps. Après avoir cherché sa voix un temps, effectué des études de gestion, puis d’art, de psychologie et enfin de théologie, Annie Kurkdjian devient artiste. En 2005, elle guérit complètement de ses maux et commence une « nouvelle vie » avec des expositions régulières en France et au Liban, où elle a son atelier. « J’ai trouvé dans la peinture un moyen pour me protéger, transformer la douleur, ressusciter », explique-t-elle simplement.
Ce sont donc les œuvres d’une artiste issue du traumatisme qui illustrent ce dossier. Des peintures à la fois sobres et puissantes, qui mettent en scène des êtres dans des postures torturées, monstrueuses, grotesques. Ils fixent parfois le spectateur, d’un œil mort, les épaules voûtées, comme harassés et perdus. Les corps paraissent disséqués, analysés, ce sont des images glaçantes et douloureuses. Ces grandes toiles au souffle tragique nous questionnent sur la vie. Pour Annie Kurkdjian, la réponse surgit dans la sincérité de la démarche artistique : « L’art peut tout sublimer, la guerre, la honte, l’enfer tout entier. »

Antoine Henry

Parisien d’origine, Antoine Henry s’installe dans un village au centre de la France après son retour d’un séjour au Japon, où il expose régulièrement, ainsi qu’en Asie; il expose aussi en Europe et en France dans des galeries d’art, Paris, Strasbourg, Marmande, etc…

résolument figuratif, son travail post contemporain prend en compte et révise les approches abstraites du 20ème siècle, dans un effort poétique de suggestion des ambiances, des “cartes postales intimes” du spectateur. Son travail recherche l’économie du geste; les paysages et les scènes de la vie quotidienne, d’une apparente simplicité, interrogent en profondeur l’interprétation.

En lecteur de Proust, Antoine Henry explore la mémoire, le souvenir enfoui qui resurgit à l’occasion d’une sensation imprévue. Loin de rester enfermé à l’atelier, il aime les rencontres, les salles de bistrot ou les terrasses ou il observe avec compassion ou ironie ses contemporains.

L’homme n’est jamais absent dans les tableaux même s’il ny est pas représenté; sa présence est palpable au détour d’un verre, d’une chaise, d’une photo dans un cadre, ou de tant d’autres détails…

Marlène Tissot

Marlène Tissot vit et travaille à Valence.Publications :

Lame de fond
La boucherie littéraire

Histoires (presque) vraies Pédalo Ivre Editions

Le poids du monde Lunatiques Editions

J’emmerde
Gros Texte Editions

Sous les fleurs de la tapisserie Citron Gare éditions

Les choses ordinaires KMA Editions

Je me souviens c’est dimanche Editions Asphodèle

Mailles à l’envers Lunatiques Editions

Nos parcelles de terrain très très vague Éditions Asphodèle

Jos Roy

Jos Roy vit dans le pays Basque.Textes publiés en revue

Dyptique, Les Carnets d’Eucharis, The Black Herald, la revue Sous-vide, Ce Qui Reste…

Recueils
De suc & d’espoir / With sap & hope 
(bilingue français/anglais), éditions Black Herald PressBalea (bilingue français/basque), éditions Maiatz

Elle a également nourri toute une série de blogs éphémères (le dernier en date : http://corpsbiens.blogspot.fr/)

Participation à des revues telles que Diptyque, The Black Herald, les Carnets d’Eucharis…

Derek Munn

Derek Munn est né en Angleterre en 1956. Il a travaillé sans conviction dans des emplois nombreux et variés, gardant toujours un temps pour l’écriture et la lecture. 

En 1988 il s’est installé en France et a enseigné l’anglais dans une école de langue à Paris jusqu’en 1994, date à laquelle il a déménagé dans le Sud-Ouest. 

Sa première nouvelle en français est parue en 2005. 

Depuis il a publié régulièrement en revue. 

Son roman “Mon cri de Tarzan” (Léo Scheer/ Laureli) est sorti en 2012.

Son recueil de nouvelles “Un paysage ordinaire” (Christophe Lucquin éditeur, 2014) a remporté le prix Place aux nouvelles Lauzerte 2015. 

En 2017, il publie “Vanité aux fruits” (éditions L’Ire des marges – roman).

Mylène Mouton

Née en 1963, elle passe son enfance à Voiron à rêver, à dessiner… et à écrire : dès qu’elle sait tenir un stylo.
Bac littéraire en poche, après quelques semaines de dilettante en fac de psycho et quelques mois passés à effectuer divers petits boulots dans le sport et l’animation, elle reprend le chemin de l’université. Ses études à la fac de Grenoble (dans l’ordre : maîtrise de lettres, licence et dea d’histoire, dea de lettres-sociologie de l’imaginaire) et le concours la mènent vers l’enseignement … lui fournissant un aller simple pour le Nord de la France où elle passe quelques années à découvrir et arpenter de long en large un pays presque tout plat… avant de revenir finalement s’établir au pied de la Chartreuse voici une dizaine d’années.
Pendant tout ce temps, les textes et les dessins s’accumulent dans ses tiroirs… jusqu’à ce moment de 2006 où elle prend enfin une grande et bonne résolution en proposant Soleils d’ocre, le roman préhistorique qu’elle vient de terminer, aux éditions Gaia qui l’acceptent immédiatement.
Ce premier roman, sorti en janvier 2007, obtient en octobre de la même année le prix 15/17 à la Foire du livre de Brive-la-Gaillarde, et est présélectionné pour le festival du premier roman de Chambéry 2008.
Maman de deux jeunes enfants, elle a abandonné (pour un temps) les voyages au long cours vers des destinations plus ou moins lointaines, ainsi que les étés passés à gratouiller la terre sur des chantiers archéologiques. Elle partage à présent son temps entre Héloise et Martin, ses enfants (sept et trois ans), l’écriture (roman, poésie), la peinture et le dessin… sans oublier les élèves auxquels elle essaie de communiquer sa passion de l’écriture et de la littérature. Les siens et ceux des autres puisque elle anime désormais des ateliers d’écriture (poésie) en milieu scolaire (primaire et secondaire). 

Bibliographie

Soleils d’Ocre, éditions Gaïa (roman, littérature générale)
L’Envolée belle, éditions À Plus d’un Titre (roman, littérature générale) Ressacs, éditions À Plus d’un Titre (poésie)
Yiddish Tango, éditions Gulf Stream, (roman pour adolescents)